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détail de : man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

détail de : man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

27 juillet 2015, mardi, Erquy.

 

Ce lieu (dernier étage de l’ex hôtel « panorama » d’Erquy, juste en dessous de la chapelle des marins) va, j’espère grave, bouger avec le temps et mon ego. Dans le chaos et l’inspiration pour extraction de quelques trucs pQf, clairs et flous, dotés d’ailes pour évader les esprits sous cages. Ne rien m’interdire dans ce espace tout flou, vibre avec l’espace et mes courants d’air, à l’abri des conventions et des bloqués dans leur tête-serrure, des horaires et des RV, des chiffres et des cadres.

 

J’espère l'immigration vers la planète pQf d'autres egos. Qu'ils s'échappent d'un monde (presque) vidé de sa poésie. Un jour, peut-être ?

 

Video et images troublées si le mécène converti m’accorde plus de moyens ? Sculptures et assemblages, dans la lignée de mes « têtes de rien ». J’espère trouver le temps de vie, l’énergie, un reste de santé (physique et pas forcément mentale au sens strict de mes contemporains) pour voyager loin dans cette aventure pQf. Pousser au plus profond l’expérience dans ce laboratoire des émotions, du sens, saturé de flou. Qu’on visite l’endroit un peu, qu’on l’explore beaucoup. Qu’à l’occasion quelques audacieux éparpillent l’œuvre pour me financer le machin pQf, me payer ma liberté d’être, de création, d’artistruc (fin du « tic » dans l’ère pQf – « truc », c’est plus sonnant et flou.)

 

En cours (bois 40x40) sur série "soeur ourson moi et man"

En cours (bois 40x40) sur série "soeur ourson moi et man"

28 juillet 2015, Erquy.

 

Art ? Artiste ? Création ? Œuvre ? Tout est tellement … flou. Apprendre à être libre. Avec la pratique créative, explorer matière et imaginaire, l’intime et l’universel, voler l’émotion, la gratter, découper, réinventer, la partager, dessiner par la ligne, spirale, une idée, la mettre en perspectives par tous les bouts, à l’envers à l’endroit, plus de haut ni bas, boussole affolée.

 

Une pratique comme un voyage, sans but ni fin. Invention d’un mot, d’un langage, d’un nouveau sens, nouvelle logique, inverser folie et raison, ou redistribuer valeurs et positions, sans jamais rien fixer, bloquer, être dans le mouvement, le flux, à l’écoute des vibrations de l’air, de la vie. Toujours bouger, dans sa tête et sa pratique, pour apprendre cette liberté d’invention, de dire, d’expression, de vie. Capter le mouvement de la vie, inventive et incertaine, fragile et décidée …  

 

 

Atelier-galerie-LABO pQf en réflexion, avant travaux.

Atelier-galerie-LABO pQf en réflexion, avant travaux.

11 août 2015, mardi, Erquy.

 

Projet blog : Ai marouflé, passé et mémoire que j’ai déchiré, papier. Comme dans ma tête, idée de départ, une photo couleurs, abîmée, avec dessus ma sœur maman l’ourson et moi. Moi de quelques mois à peine (ou pas même 1 mois ?). Cette photo, « l’idée de départ » comme avec les « roses n&b » de l’été 2013, me traîne dans la tête, se cogne, se cache et évolue, etc depuis une année. Un peu plus. Surgit pas très loin après le 1er juillet 2014, saint Thierry, où maman a choisi de m’introniser orphelin.

 

Depuis, un travail intérieur et très secret, sur cette photo que je reproduis, agrandis, découpe et réfléchis par tous les bords. L’ourson que je récupère dans la maison où mon pamam vivait encore ensemble, une dernière étape, rachetée par mon frère. Ourson décati, que je veux dessiner, peindre, dans ce temps présent. Délaissé et malmené, oreille en moins, plus de bouche, museau rapé, un dernier œil qui pendouille sur son fil, couleur du poil délavé.

 

Je voulais, comme depuis quelques années, partir de l’idée, d’une image, de grossiers symboles, pour crée le Motif, avant de le décomposer-recomposer à répétition, créer de cet univers tellement intime, un texte sans les mots, ou des mots distribués selon ma syntaxe bricolée. Un « truc », un travail artistruc (pas de tic, à éviter) et universel. Une création pQf, soit totalement floue et poétique ... entre autre chose.

 

Seulement, hier après avoir marouflé et quelques soucis domestiques, pratiques, qui me déconcentrent, trop, je perds pied et un peu la tête avec la suite de mes idées qui suivait mon « idée de départ » pour finalement, brutalement, trébucher assez vite sur rien. Ce qui suit, relève un peu du cauchemar éveillé. Tout dans ma tête qui s’embrouille, et devient net. Je perds mon flou, ma poésie intrinsèque, les mots et ma syntaxe où je baigne d’ordinaire. Cela me fuit de partout. Tout devient net et sec. Et immobile ... Comme un peu, la mort.

 

Une échappée sur le bord de mer me sauve un peu, beaucoup, énormément… pas du tout ? et voilà que je réfléchis tout azimut, jusqu’à aujourd’hui à comment vivre, encore, sans pQf, sans créer, sans peindre. La vie qui ne m’inspire plus, je ne respire plus, aspiration à rien. Aspiré par le vide.

 

Je suppose que cela est possible. Je sais que tout le monde autour de moi, tout le monde sans une seule exception, y arrive. Le pQf n’est que mon « truc », n’inspirait et n’aspirait que moi.. Sans le moindre dégât, souci, pour l’autre. Je suis seul avec cet handicap, non reconnu par la sécurité sociale. Et j’imagine que je peux, dois pouvoir surmonter celui-ci ? Vivre, encore, sans plus aucune idée, de départ et autre, autres qui suivent.

 

Jusqu’à présent, soyons honnête, j’y arrivais mal. Et depuis cet été 2013 et plus rien, j’y arrivais très mal. Mais … je devais mal m’y prendre, aussi. Ne plus rien faire ? Ne plus se poser cette question pQf à double tiroir : pour quoi faire ? Pourquoi faire ? Et comme tout le monde : prendre les réponses comme elles viennent. Même si me semble … Qu’importe ce qu’elles pourront me sembler ? Je ne sais pas. Tout cela tient d’un flou qui n’est pas pQf. Pas même flou, simplement, qui m’est étranger et où je peine à exister, être. Où je ne réfléchis pas. Aucune image. Vivre là ? Vivre là et trouver comment retrouver goût à cette vie autrement réfléchie. J’y réfléchis sévère. J’espère un début de réponse, au plus vite.

 

Déjà fin de "l’atelier-galerie-LABO" pQf ? Peut-être un musée à venir ? Un mausolée ? Un mot-gelé ? Ou pas … Je vais y réfléchir à Paris, loin de ce lieu, cet espace-temps, zone floue de mon être. Pas d’autre choix … ou presque.

 

Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"
18 septembre 2015, Paris.

 

Art ? Artiste ? Création ? Je repense souvent à cette pièce de Pierrick Sorin « 22h13 (ce titre est susceptible d’être modifié d’une minute à l'autre). »  Du théâtre ou mieux que ça, (je n’arrive pas à trouver un enregistrement de cette pièce, si quelqu’une ou qu’un peut me donner ce tuyau ?) qui dit si bien ce comment je vois, perso, comment fonctionne l’art et son créateur. Chez l’homme, comme dans la nature (ou un truc comme Dieu si était aux manettes ?), l’envie, le doute, l’incertitude, la multiplication des sens et des chemins, du bidouillage et ses échecs, ses incohérences et ses réussites, ses merveilles pour qui sait voir percevoir ressentir s’émouvoir. Enfin, à la clé pour celle ou celui qui s’engage, à corps perdu, esprit flouté, une vie tumultueuse et aventureuse au possible et à l’impossible.

 

J’en rêvais …

 

Sorin, artiste-étalon, me rassure dans cette idée (moins floue que les autres) que le support importe peu, ou parfois pas du tout. Du moment que, comme la technique, elle accompagne, facilite, l’expression d’une pensée, émotion, formulation impossible autrement, que jamais les mots pourront traduire, incarner. Le résultat, unique, crée, qui seul par lui-même exprime dans sa propre langue, une expression originale et neuve … que mille traducteurs et savants, critiques, fans et disciples, ne pourront qu’au mieux approcher à force de patience, infinie, et de passion, absolue. L’artiste est toujours seul. Humain ou Nature. Intraduisible. Seulement à peine perceptible (le flou  de bougé) et le plus souvent, interprété. Chacun son filtre d’interprétation (construit avec un héritage génétique, une éducation, un parcours de vie et son environnement, des peurs des colères des émotions, une culture, des envies et besoins etc). Un filtre toujours unique.

 

Erquy = fournisseur d'énergie au projet de l'atelier-galerie-LABO pQf
Erquy = fournisseur d'énergie au projet de l'atelier-galerie-LABO pQf

Erquy = fournisseur d'énergie au projet de l'atelier-galerie-LABO pQf

 

mercredi 21 octobre 2015 :

 

Essayer, reprendre mes outils, un peu ? Aucune idée, finie, de quoi comment qui me renouvelle. Car besoin de ça, grossièrement « façon Phénix ». Ou « façon Félix » ? … Partir de cette idée, mémoire, naissance, création, et prendre appui sur mes techniques perso, apprises après de longues années, maintenant intimes, pour partir vers autre chose, un nouvel espace, inconnu. A explorer. Mes techniques et mes perceptions visuelles autant que sensuelles de la matière, du temps, et du mode de cheminement de mes pensées, intuitions, se laisser prendre dans ce mouvement, flou, affolé parfois, brutal ou apaisé, mouvement qui trébuche ou chavire avant de trouver son vide où chuter, où voler … D’avance, tout est possible. Bien tomber, mal voler. Me sauver, loin, me planter, plus profond. Ne pas appréhender. Casser ce trac qui aujourd’hui me bloque.

 

 

 

Dimanche 25

 

dans « l’atelier-labo-pqf » pas fini et sans eau. Au fond, vers biblio pas encore montée, ordi défaillant, j’écris assis dans canapé. J’écoute Valérie Leuliot, Holden, Camille, Keren Ann. Dans l’incapacité totale de prendre mes pinceaux, brosses, réfléchir à ce que j’ai laissé tombé il y a quelques mois.

 

 

Loin d’ici, il m’arrive encore de peindre dans ma tête. J’ai les gestes, les tubes, la matière et les couleurs, parfois des parfums, d’huiles d’aspic ou térébenthine. Je crée et puis, j’efface. Mon quotidien d’un ennui sans borne, maintenant, efface tout. Plus personne pour tenir mes pensées comme les pinceaux, tenir le temps et cet espace vide. Je suis absent à moi-même. C’est à peine terrifiant, plutôt contrariant. Un peu comme la mort et ces gens qu’on aime et qui disparaissent, s’effacent aussi…

 

 

 

détail de : man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

détail de : man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

 

Après Valérie Leuliot etc … Peter Gabriel et son cœur qui fait « boum boum boum », et encore « my heart goes and :  boum boum boum ». Tout est là, encore, toujours : ma sœur et moi, émoi, l’un près de l’autre qui frappons notre cœur quand le baffle nous souffle le son de Peter. A tous les coups, automatique, « boum boum boum » les larmes me troublent les yeux. Et le vertige de la vie me prend la tête.

 

 

Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"

 

Lundi,

 

même endroit. Je voudrais, autant que je ne peux pas. J’écoute Schubert, 8 et 9. Classique (le choix). Mais trop symphonique pour moi, en ce moment. Je me replie sur Ravel et son « gaspard de la nuit ».

 

détail de : man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

détail de : man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

Jeudi, Erquy :

 

 

depuis avant-hier sur une toile 1 x 1m sans apprêt, je peins à main levée « l’ourson sœur man et moi », d’après photo quand j’ai quelques jours de vie (quelques mois ?). J’étais parti pour un n&b avec touches couleurs, sans avoir où quand comment. Et puis, comme souvent, je vais vers autre chose. Je voulais éviter une ressemblance, voir ce qui sortirait d’un tracé « à l’œil » après une absence de dessin de quelques années, main malhabile qui balbutie son trait, ses ombres, sans mise au carré, proportions hasardeuses. Ou, je souhaitais ne pas aller vers une ressemblance immédiate qui fait mémoire. Sans pour autant faire le Bacon (que j’aime, joueur et follement jouisseur) ou le Picasso (aime moins. Trop sûr de lui et trop destructeur autour). Sans effet ni « trouvaille », seulement d’instinct, sincère. Simplement laisser faire la main, incertaine, et l’œil, myope.

 

Vite, l’idée du gris dépasse le n&b, l’entre-deux, le pas qui trébuche, des coulures font écho à ma dernière « rose » de 2013. Le chagrin, larmes noires, grises, rayures. Esprit et mémoire rayés, abîmés. Cachés. Résultat ? Je ne sais pas. Vraiment perdu, nulle part toujours. Je peins et repeins sur les visages (sauf moi, rayé que je laisse brut). Sur ma sœur, sur ma mère, le trait bave ou se fait timide, les yeux doivent voir … comme avec ce désir de creuser, de retrouver, j’appelle avec mon pinceau ce qui est mon au-delà intime. Ma mémoire qui n’a pas de mot, forme, aucune expression, à fleur de ce qui est encore, à peine.

 

Souvent, je m‘égare et vidé, je contemple le vide, rien, tout autour de moi, en moi.

 

Que le chagrin pour tenir, qui se fait squelette. Me sens encore en vie, là, limite, avec les couleurs en désordre sur cette palette, l’odeur prégnante de la téréb, les mains grasses « tâchées » qui s’agrippent aux pinceaux et couteaux. Que de la téreb, je fais le choix d’un glacis de fortune, pauvre en matière. Les 2 visages changent très vite, d’un pincement de lèvre, une ombre plus prononcée, narines, pupilles, que je déplace, je veux garder le trait (noir), dire douleur et douceur, tendresse et violence. Après plusieurs visages, je sens à quel point, je me suis perdu avec peu d’espoir de retrouver un chemin. L’ourson prend la couleur et du poil, la trace blanche. Tout contre moi, à peine moi, il me semble le plus vivant de nous 4. Me réconforte encore. D’une douceur lointaine et proche qui échappe aux crocs de Chronos.

 

Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"
Samedi 31 oct 2015 :

 

 

Pas totalement convaincu par ma toile 1x1m de « moi sœur ourson et man » (titre où pas d’ordre établi). Je mélange et redistribue les chances. Un peu laborieux hier avec un travail sur le côté « man », et les couleurs. En mettre ou pas, glacis ou pas, du gris, ou du vif ? (Mort ou vif ?) Je voulais de la douceur, et quelque chose d’acidulé. Années 70 et du bleu qui finit le tableau vers la droite, qui ouvre la toile. Et qui soit, aussi, le bleu de « man ». Des bleus (me souvient enfant quand papa me testait sur ce ciel-là. A moi de trouver de quels bleus il se composait) Des aplats de couleurs, avec matière tenue ou par la trace du pinceau ou par le couteau. Composition façon « pa » pour l’inclure quelque part dans ce club des 4. Mais pas totalement satisfait du rendu. A revoir ? Avec le temps … Content du gris, ni trop foncé ni trop clair.

 

Du fond de mon atelier (6 ou 7 m ?), la toile fonctionne encore un peu. Mieux de près, pas plus de 2 mètres. La ressemblance n’est pas là, et, peut être là. Pas loin de ce que je voulais, un peu. Regarder cette toile longtemps, que mon regard la travaille encore. Trouver ce temps qui patine, creuse et, réfléchit, miroir dans le temps. Mémoire dans ma vie.

 

  

 

 

Samedi, plus tard : avec the Strokes et Cat Power, je redonne un peu de couleurs aux joues de ma sœur. Je serre le trait noir (bougie) qui nous lie et cerne. Je refais quelques fils-coulures gris. Qui fissurent. Au fil du temps et dans le sens, vertical, de ma toile. Pluie noire ? La bougie (tube de « noir bougie » qui fond ? Je pose quelques éclats bleus outremer, cobalt, manganèse, sur nos yeux. J’exclus le turquoise. Avec pinceaux (2) qui lèchent soupçon de téreb de Venise. Quelques larmes, de vie, en chemin. Sensations de vie … que presque j’avais oubliées.

Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"
Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"
Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"
Extraits du journal de "l'atelier-galerie-LABO pQf"
Samedi, plus tard :

 

avec the Strokes et Cat Power, puis Bashung, je redonne un peu de couleurs aux joues de ma sœur. Je serre le trait noir (bougie) qui nous lie et cerne. Je refais quelques fils-coulures gris. Qui fissurent.

 

Au fil du temps et dans le sens, vertical, de ma toile. Pluie noire ? La bougie (tube de « noir bougie ») qui fond ? Je pose quelques éclats bleus outremer, cobalt, manganèse, sur nos yeux. J’exclus le turquoise. Avec pinceaux (2) qui lèchent soupçon de téreb de Venise. Quelques larmes, de vie, en chemin. Sensations de vie … que presque j’avais oubliées.

 

 

man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

man soeur ourson et moi / toile 100x100 / octobre 2015

Plus tard, rentrée sur Paris :

 

 

Sinon, et cette reprise ? Des automatismes, créativité molle … système « vie » au ralenti. Au bord de … sur le fil qui borde l’abysse, j’équilibre mon pas et pas l’esprit. J’avance dans mes lignes couleurs matières où je reconnais mes empreintes, pas le décor. Trop flou, encore. Le sale flou, pas de bougé, de vague à l’âme après coup de massue. Les coups de massue.

 

Gérard et Marc disparus tous 2 le mois dernier, l’un qui maintenant hante le Labo-atelier-galerie pQf, son atelier-refuge à lui, avant. Il vivait là. Le seul que je faisais rire, rit encore dans ma tête. Marc, qui aimait comment j’écrivais et qui le disait si joliment, avec passion et léger délire, s’était mis aux pinceaux peu avant de … et de m’offrir un de ses travaux noir et Blanc en 2013 à mon expo-compression "EGO" (avec un texte de lui exposé), posé maintenant dans mon atelier parmi les miens.

 

Il y a comme une foule dans ma tête, ma mémoire, qui s’agite dans mon pQf intime et expérimental.

 

Ourson - à finir ... toile 100x100

Ourson - à finir ... toile 100x100

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