Calvitie ou caldeira ?
À découvrir une nouvelle navigation avec une vue plongeante sur ma calvitie. Miniature - ou mignardise du temps ? - derrière laquelle se cache la moelle du PQF et autres babioles toutes fragiles, dont une nouvelle page du site pour mettre en vrac mes nouvelles peintures hors séries :
http://www.lagaleriepqf.fr/galerievrac.html
Doté de cette coquetterie à ciel ouvert (ma calvitie qu’il faut lire comme un nouveau système d’aération tandis que la terre se réchauffe sans vergogne) j’hésitai un instant à m’enfermer dans une cellule d’abbaye afin de fabriquer en joyeuse compagnie quelques bières d’Orval parmi forêts et sangliers, Chartreuse ou Bénédictine avec vue sur les cimes. L’accessoire aurait pu me faire signe, que j’aurai collé avec d’autres coïncidences d’une même panoplie. Ben non ! Je ne reçus aucune confirmation, même résiduelle, pas d’appel du pied ou index tendu d’un au-delà barbu qui m’aurait poussé dans cette voie. Dommage ! Dommage ? Seule voix et voie, une mouette me rendit visite alors que j’errai nulle part pour m’inspirer des mots et couleurs (voir sur site le récit développé) avec pirouette :
http://www.lagaleriepqf.fr/lamouette.html
Et sur ces entrefaites, un mariage proche avec une sirène m‘interdit de fouiller plus avant cette issue facile à mon impasse... LE cul de sac. Le Flou naviguera à poil sur cette calvitie ou, plus biologiquement exact, sur ma caldeira PQF. Un métagag de mouette se mérite plus qu’une métafour en miettes (je développerai plus tard ces 2 néologismes, complexes, du métablabla PQF). Et pour commencer à s’en faire une image, poétique, je conseille la visite prolongée de cette page :
http://www.lagaleriepqf.fr/hommedetexte1.html
PQFment notre,
tHierry